[Divers] Nos anciens

tostao a écrit:

Ben oui,on avait malgré tout compris le sens de ta phrase mais on tenait à te taquiner un peu

+1 Tostao

Pour Marcal, il aurait été mieux au PSG ou Monaco vu son niveau et le nombre de portugophones

A Monaco peut être..et encore?
Mais au PSG il n'aurait pas joué .

il est largement + efficace que kurzawa pour délivrer des caviars. Bon apres, tu me diras, l'apport offensif des latéraux est moindre au PSG quand on voit leur attaque

Remfan a écrit:

il est largement + efficace que kurzawa pour délivrer des caviars. Bon apres, tu me diras, l'apport offensif des latéraux est moindre au PSG quand on voit leur attaque

Ben, pas trop mal Dani Alves

Encore laissé libre:

Steeven Langil au NEC Nimègue
Publié le samedi 23 septembre 2017 à 08:17

Laissé libre par le Legia Varsovie, Steeven Langil s'est engagé avec le NEC Nimègue (D2 Pays-Bas).

https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Steeven-langil-au-nec-nimegue/836577

tostao a écrit:

A Monaco peut être..et encore?
Mais au PSG il n'aurait pas joué .

pas sur avec le nombre de brésiliens du PSG,  d'ailleurs ils en avaient un peu parlé comme doublure pendant le mercato une rumeur sans doute, mais l'OL est tout sauf le club qui lui correspond, la bas la ligne médiane est sa limite. Aprés coté qualité de centre il n'y a pas photo avec Kurzawa

PhD twitte à propos d'un article sur Ndombélé paru dans l'Equipe du jour.
https://twitter.com/PierreHD/status/911514831311818753

keravel a écrit:

PhD twitte à propos d'un article sur Ndombélé paru dans l'Equipe du jour.
https://twitter.com/PierreHD/status/911514831311818753

[mode Sansuite]Et dire que Coco n'a rien fait pour le retenir   [mode Sansuite] 

Ouais enfin, c'est un ensemble. Lemaire, Rouxel, Coco ... Difficile d'en tirer des conclusions définitives. Si le gars ne paraît pas plus concerné que ça par la suite de sa carrière ... C'est sans doute la plus grosse difficulté avec un jeune, lui faire comprendre qu'il a des qualités mais que sans le travail, il n'arrivera à rien ou pas grand chose.
Après, la prise de conscience pour lui, ça a été le fait qu'il se fasse virer. Donc merci Guingamp, d'une certaine façon même si j'aurais préféré avoir un tel espoir dans notre effectif.

keravel a écrit:

Ouais enfin, c'est un ensemble. Lemaire, Rouxel, Coco ... Difficile d'en tirer des conclusions définitives. Si le gars ne paraît pas plus concerné que ça par la suite de sa carrière ... C'est sans doute la plus grosse difficulté avec un jeune, lui faire comprendre qu'il a des qualités mais que sans le travail, il n'arrivera à rien ou pas grand chose.

C'est surement le fait de ne pas être conservé qui lui a donné le déclic

C'est ce que je pense aussi. Dommage pour nous.

je maintien que Coco était aussi "dans le coup" pour ne pas le retenir ... lui et d'autres  ( aboubakar qui est revenu cette année ... ect on ne peut pas tout dire sur un forum .... ) ......  cela n'est pas le fait d'un seul homme ..mais notre ami va maintenant nous montrer ce qu'il sait faire au pôle espoir .. et la il ne pourra pas dire que c'est "la faute des autres ..."

Tanguy a grandi
YOHANN HAUTBOIS

LONGTEMPS FREINÉ PAR SA NONCHALANCE ET SES KILOS EN TROP, LE NOUVEAU MILIEU LYONNAIS, ÉPATANT À PARIS DIMANCHE, SEMBLE AVOIR ATTEINT UNE MATURITÉ À LA HAUTEUR DE SON TALENT.

LÉquipe

Les années passent et Mathieu Bodmer, trente-quatre ans, n'a rien perdu de son sens de l'anticipation. Il fallait croire le néo-Amiénois, au début de l'été, quand il nous confia, au sujet de Tanguy Ndombele qui passait par là : « Lui, c'est très fort. Il ne va pas rester longtemps. » De fait, le gamin d'Épinay-sous-Sénart, dans l'Essonne, a disputé trois matches sous le maillot picard avant de filer vers l'OL avec qui, dimanche, à Paris (2-0), il a confirmé ce que les suiveurs de la L 2 savent depuis douze mois : Ndombele, c'est donc « très fort». « Je suis surpris que les gens soient surpris », s'étonne son post-formateur amiénois, Patrick Abraham.
Pourtant, rien dans sa trajectoire ne laissait présager une ascension aussi fulgurante et rectiligne que sa frappe sur la barre encore tremblante d'Alphonse Areola. À Guingamp (2011-2014), où il a été formé mais pas fini, on se rappelle d'un « gamin gentil et rigolard, mais qui ne foutait pas grand-chose à l'école. Un talent fou avec un poil dans la main ». Auquel l'En Avant n'a pas proposé de contrat pro. Son entraîneur en moins de 17 ans, Philippe Lemaire, regrette encore aujourd'hui « des choix de club » : « Je n'étais pas pour son départ. Il était déjà intéressant techniquement, dans le toucher de balle, le rapport avec le ballon, même s'il n'avait pas cette puissance qu'il dégage aujourd'hui. Un amoureux du foot, un joueur avec un grand J. Mais il fallait être patient avec lui. » Alors directeur du centre breton, Lionel Rouxel (aujourd'hui sélectionneur de l'équipe de France des moins de 18 ans) prit la responsabilité de mettre un terme à son parcours breton. Sans regret, jure-til, alors que le milieu a été prêté cet été pour 2 M€ avec une option d'achat qui monte à 8 M€ : « En aucun cas, on a remis en cause son potentiel. C'était un garçon avec une bonne mentalité, mais il lui manquait la prise de conscience pour atteindre le haut niveau. Il avait du mal à se lever le matin, il était un peu en surpoids, pas toujours sérieux en dehors. On a été gentils avec lui, on a été durs, on a été très durs, on a été au bout du bout, mais à un moment… » Sonné une première fois, le garçon « secret » et « bougon parfois » vit de ne pas être retenu « comme une souffrance. Guingamp lui a mis un coup au moral », selon Harrison Manzala, attaquant d'Amiens. Ndombele végète alors chez ses anciens coéquipiers, en Bretagne, revient en région parisienne où, déjà, tout petit, ses débuts avaient séduit coéquipiers et éducateurs du FC Épinay Athlético, sauf un certain Kiki, dont il repeignait les tapis de voiture : « Il était malade pendant les déplacements, il vomissait toujours, se rappelle l'attaquant de l'AC Ajaccio (L 2), Yoane Wissa, ami d'enfance. Kiki prenait des sacs poubelle dans sa voiture, rien que pour lui ! (Rire.)» Si la recrue lyonnaise n'aimait pas trop que ça tangue sur la route, elle n'avait aucun scrupule, sur le terrain, à secouer tout le monde. Wissa en fut un spectateur privilégié puisqu'il débuta dans le but. « Lui était numéro 10 et il était phénoménal : il nous marquait quatre ou cinq buts par match, il respirait le foot. Je m'asseyais contre le poteau et je le regardais faire. » Ndombele, aussi, s'est parfois un peu trop regardé, un peu trop laissé aller et ses kilos superflus, même s'il compensait par sa qualité technique et sa percussion, ont rebuté un paquet de clubs. Sauf Amiens, dont on ne peut pas contester la patience avec le garçon. Car, là encore, celui qui « casse les lignes » (expression utilisée par chacun des témoins) n'a pas tout fait avec une rigueur absolue. Après Guingamp, il décrocha un essai concluant en Picardie mais reproduisit le schéma costarmoricain. « Il fallait le pousser un peu, se rappelle Patrick Abraham. C'est un nounours qui n'avait pas encore compris où il voulait aller. » « Mal conseillé », estimet-on dans son entourage, il profita de la perte du statut pro d'Amiens en juin 2014 pour passer des essais dans d'autres clubs professionnels, sans convaincre ces derniers ni, surtout, prévenir ses dirigeants. « Je le chambrais souvent l'an passé là-dessus, sourit Manzala. "Tu t'es fait recaler de tous les clubs et tu vas jouer en L 1 !" » Ses escapades estivales ne firent pas rire les dirigeants picards, qui le renvoyèrent. Retour à la case départ, au club de Linas-Montlhéry, où il évolua jusqu'en 15 ans : « Tanguy n'est pas un très grand communicant, cela peut créer des malentendus, on reste sur des impressions fausses, explique Michaël Bertansetti, président du club de l'Essonne. C'était frustrant de le voir ne pas exploiter son potentiel. Mais Amiens lui a donné une seconde chance. »
"Il ne doit pas s'endormir, c'est un peu son démon. Mais il va être monstrueux. D'ici à un an, il sera en équipe de France. Il va faire la Coupe du monde PATRICK ABRAHAM, SON POST-FORMATEUR À AMIENS

Un épisode sur lequel Abraham est gêné de revenir, pour protéger le joueur, mais le dirigeant amiénois doit bien le concéder : « Je l'ai repris car c'est un bon gamin, qui ne m'a jamais manqué de respect et parce qu'il était pétri de talent. Je lui ai dit : "Tu peux réussir si tu es sérieux." » Le déclic, enfin, et son potentiel n'échappe pas à Christophe Pelissier qui le lance, en L 2, en septembre 2016 seulement avec, à la clé, une montée folle en L 1 : « Il se nourrit des échecs, c'est son intelligence. Avec nous, chaque semaine, il a passé un palier car il s'adapte au niveau auquel il évolue. Il y a eu des entraînements où, avec le staff, il nous a bluffés dans ses prises de balle sous pression, dans sa faculté à casser les lignes. Sur trois ou quatre mètres, c'est un dragster. » Le voilà en L 1 et Patrick Abraham, « pas très objectif » mais qui aime décidément les paris, le voit encore plus haut : « Il ne doit pas s'endormir, c'est un peu son démon. Mais il va être monstrueux. D'ici à un an, il sera en équipe de France. Il va faire la Coupe du monde. » En attendant, Sylvain Ripoll l'a testé récemment chez les Espoirs (2 sélections). Parce qu'il est très doué, on l'avait compris, mais aussi, selon Pelissier, parce que « c'est quelqu'un qui, en termes de charge émotionnelle, résiste à tout. La pression, il ne connaît pas. J'en ai connu d'autres qui ont un peu mouillé en passant le rideau d'entrée du Parc des Princes. » Pas lui, donc, et Bernard Lacombe, conseiller de Jean-Michel Aulas, a cru revoir au Parc « un petit Tigana ». La comparaison va déplaire à l'OL qui a cherché, cette semaine, à le protéger des sollicitations médiatiques après lesquelles il ne court pas, de toute façon, selon son ami Manzala : « Ce n'est pas un m'as-tu-vu, il n'aime pas se montrer. » Depuis dimanche dernier, c'est raté. On n'a vu que lui. '

SANSUITE:Je ne sais pas ce que t'a fait Coco,mais depuis pas mal de temps tu ne lui trouves pas que des qualités!
J'en suis un peu surpris..

Le gars a fait 3 matchs de L1. Attendons avant d'en faire une méga star.

Et puis qui dit qu'il aurait atteint ce niveau ici? Koscielny était nul à Guingamp,  c'est en redescendant plus bas qu'il s'est révélé.

Drogba a fait l'inverse. 

Parfois une carrière ne se joue pas à grand chose.