[Divers] Nos anciens

pesag a écrit:

Des nouvelles de Claudio !

http://www.footmercato.net/liga/transferts/claudio-beauvue-raconte-son-retour-en-grace-a-leganes_214165

Super pour lui !!!! Il sera au top quand il reviendra chez nous 
Si il revient bien sûr.

Super "Pingouin" .. 

Un article sur Alain Thiboult ds LT
"le foot comme on l'aime"
qui le copie ici ?

Un garçon qu'on a laissé partir libre et qui s'installe en L2
https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Fousseni-diabate-prolonge-au-gfc-ajaccio-jusqu-en-2020/851521

[size=42]Voilà, m'sieur maloud, suffisait de demander. Merci. Pas abonné à LT mais encore dans mon cota de consult.  [/size]
[size=42]Alain Thiboult. Le foot comme on l'aime[/size]
 Publié le 16 novembre 2017 à 00h00 Modifié le 16 novembre 2017 à 09h27

LAURENT RIVIER

VOIR LES COMMENTAIRES
Après 23 années en tant que CTD, Alain Thiboult voulait « boucler la boucle » en mettant noir sur blanc ses idées.

Un été est passé depuis qu'Alain Thiboult, 60 ans, a quitté ses fonctions de Conseiller technique des Côtes-d'Armor. Un été que le jeune retraité a consacré à la rédaction de chroniques, réunies dans un ouvrage baptisé « Soyez foot ! ». Où dribbles et passes claquées résonnent à l'oreille des passionnés.

« Soyez foot ! » À ce message empreint de générosité, Alain Thiboult est venu accoler un sous-titre explicite : « Intimes convictions d'un Conseiller technique ». Le Vannetais de naissance est un homme d'idées. Et donc d'intimes convictions. Il n'y a jamais dérogé depuis ce premier jour d'août 1994 où il a côtoyé pour la première fois les dirigeants costarmoricains. « Ces chroniques sont majoritairement à l'intention des éducateurs de jeunes, dont la formation était ma fonction première », précise-t-il.

Des dribbles et des feintes

Le livre, « ressemble ligne après ligne à son auteur, à cet homme passionné, discret et attachant qu'est Alain Thiboult », écrit Noël Le Graët dans la préface qu'il s'est fait un plaisir de rédiger. Plaisir : le mot est partout chez l'ex-CTD. « La notion est trop souvent négligée », estime celui qui exècre les exercices contraints à une, deux ou trois touches de balle. « Le jeu de football doit être libre, tout particulièrement à l'école de football », dit-il. Surprendre l'adversaire, par des dribbles et des feintes, devient alors une obsession. Et un plaisir à partager. Chantre du Barcelone de Pep Guardiola, celui qui porta 306 fois le maillot de Guingamp (seuls Coco Michel et Stéphane Carnot ont fait mieux) est un esthète-pragmatique qui dit son « bonheur d'avoir été le Conseiller technique d'un District qui minimise au maximum l'esprit de compétition chez les jeunes », notamment à travers l'absence de classements jusqu'en U13.

Réalité et répétitions

Au total, ce sont « 5.000 éducateurs qui sont passés sur le banc du district lors de mes stages de formations, détaille-t-il. Après 23 années en tant que CTD, cela me tenait à coeur de mettre noir sur blanc mes convictions. » Ceux qui le connaissent devinent toute la modestie de la démarche. « Je ne détiens pas la vérité », assure-t-il. La sienne se veut clairement ancrée dans la réalité. Avec des exercices d'entraînement les plus proches possibles des situations de matchs. Persuadé que « l'apprentissage technique doit être tenu pour prioritaire », Alain Thiboult est, par exemple, un apôtre du tennis-ballon. Il explique également tous les bienfaits du travail sur un mur, idéalement « d'une dimension de 15 m de long sur 1,50 de haut ». La remarque est frappée au coin du bon sens : « Lorsque l'on frappe le ballon sur un mur, il revient toutes les secondes. Or la progression vient en particulier de la répétition. » Bien sûr, au gré de ses chroniques, Alain Thiboult parle aussi fair-play, respect ou pédagogie. Il tord le cou à certaines expressions trop souvent entendues sur le bord des terrains (« Lâche-la ! », « Mets en touche ! », « Jamais dans l'axe ! »). Des suppliques loin du foot qu'il aime, créatif et inspiré.
Où trouver son livre ? 
« Soyez foot », 12 € (la moitié des bénéfices seront reversés aux Restos du Coeur). Exemplaires disponibles au District, à Ploufragan. Commandes par mail : soyezfoot@orange.fr

Alain Thiboult,capitaine et joueur exemplaire d'EAG que j'ai beaucoup apprécié !

Merci Iggy pour l'article. Super témoignage : vive le tennis ballon ...

Reynald Lemaître s'entraîne actuellement avec Rouen (N3)

FC Rouen hein, pas Quévilly-Rouen-Métropole

Avant avant notre EAG - SCO Angers où au final on prend malgré tout 1 pt. Le compteur continue de tourner (haut les coeurs   moi j'attends juste de voir si on passe cette barre souvent fatidique/compliquée de 17pts avant la trêve mais on est dans les clous ),
j'ai suivi presque toute la rencontre Legones-Barça ou Claudio Beauvue pas annoncé titu. était pourtant bien là et manque un face à face pour l'égalisation avec Ter Stegen infranchissable aujourd'hui.
Curieux, diffusion sur beIN1 en différé de 30 mn!
Claudio semble en pleine forme, tjrs dispo, à bouffer les espaces mais on ne joue pas plus apparemment à Leganes sur ses qualités. Impression de "déjà vu"  .
Déjà il y a trois semaines il avait fait méchamment trembler un poteau gauche (qui doit encore vibrer!), pas verni. ça va venir, allez Claudio 

17 points à la trêve?  Ce serait très insuffisant. 

Il en faut 21

Par curiosité, voici les stats de Dorian Levêque au PAOK : faméliques.... comme chez nous, malheureusement pour lui. 1 match joué en championnat c'est tout...

http://fr.soccerway.com/players/dorian-leveque/87883/

Interview hier dans lequipe.

JOCELYN GOURVENNEC

«JE SUIS DANS LA BAGARRE EN PERMANENCE »
DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL ÉMERY TAISNE

L'ENTRAÎNEUR BORDELAIS, EN POSTE DEPUIS MAI 2016, ASSURE GARDER LE CAP MALGRÉ LES QUATRE DÉFAITES EN CINQ MATCHES SUBIES PAR SON ÉQUIPE.

Nicolas Luttiau/LÉquipe

BORDEAUX – Jocelyn Gourvennec est de retour aux affaires. En contact permanent avec son staff, l'entraîneur bordelais ne les avait jamais vraiment délaissées mais une opération prévue depuis le mois d'août l'avait contraint à s'absenter quatre jours lors de la première semaine de la trêve internationale. « J'avais un problème à un sinus maxillaire, il fallait le nettoyer, nous a-t-il expliqué. Rien de très important, mais il fallait le faire. » Il a mis ce laps de temps à profit pour trouver des remèdes à la mauvaise passe traversée par les Girondins.
« À froid, votre analyse de la situation est-elle la même qu'à Rennes (0-1, 3 novembre), lorsque vous aviez constaté qu'en dépit d'un changement de onze, puis de système, rien ne fonctionnait ?
S'il y a quelque chose que j'ai bien appréhendé depuis le début de ma carrière, c'est que la colère est mauvaise conseillère. On peut avoir des coups de sang, parler de manière virulente à son groupe mais ça ne peut pas être un ressort permanent. Il n'y a pas de coup de baguette magique, ça n'existe pas, mais on a un effectif équilibré avec des joueurs investis. Ce dont ils ont besoin, c'est de se prendre un peu plus en main, de se faire violence, surtout lorsque ça ne sourit pas.
Un entraîneur à la tête d'une équipe qui doute est-il par la force des choses un entraîneur qui doute lui aussi ?
Il peut y avoir une part de doutes, mais c'est toujours momentané. L'énergie d'un entraîneur, d'un leader, doit prendre le dessus. On n'a pas le temps d'être dans des états d'âme. Je suis dans la bagarre en permanence : pour remobiliser un groupe, entretenir une dynamique, faire entendre son discours à l'intérieur, défendre ses choix et emmener tout le monde avec soi.
Est-ce parfois compliqué ?
Pour moi ce n'est pas un effort, j'aime ça. J'ai vraiment retenu ça de mes deux
entraîneurs à Nantes, Jean-Claude Suaudeau et Raynald Denoueix. Lorsqu'il y avait des moments difficiles, ils modulaient, mais on ne sortait pas d'un axe de travail. C'est salvateur pour un groupe.
Certaines de vos convictions ont-elles, malgré tout, été ébranlées par cette mauvaise série ?
Avoir des convictions ne signifie pas être obtus. C'est avoir des idées, bien les expliquer aux joueurs et fixer un axe. Vous savez, quand les choses ne vont pas bien, le vestiaire – et je ne parle pas seulement de l'équipe qui joue – est très en observation de l'entraîneur. Est-ce qu'il a toujours l'énergie ? Est-ce qu'il ne change pas de discours en fonction des circonstances ? Est-ce qu'il n'est pas en train de se protéger ? Ce sont des choses auxquelles il faut faire attention.
Plus concrètement, êtes-vous dans une phase où il faut moduler ?
Oui. Notre défaite à Paris (2-6,le 30 septembre) a déréglé l'équipe. Depuis, c'est moins bien. Certains joueurs sont émoussés, ils ont moins de dynamisme. J'ai tenté des choses. Des joueurs qui jouaient beaucoup se sont retrouvés sur le banc, d'autres en sont sortis. Quand il n'y a pas d'effet, on se dit "mince, ce n'est pas encore ça". Il faut trouver d'autres solutions. Lesquelles ? Si j'avais des problèmes de comportement dans mon effectif, ce serait plus facile à gérer, mais ce n'est pas le cas. Le groupe est exemplaire dans le travail. On fait de bonnes semaines d'entraînement mais on a du mal à basculer sur la compétition. Il faut qu'on retrouve ça. À partir du moment où l'état d'esprit est là, qu'il y a de la qualité, ça va revenir sans avoir besoin de crier sur les joueurs ou de les traiter de moins que rien.
Est-on loin de la vérité si l'on vous dit que vous traversez la première vraie zone de turbulences depuis que vous entraînez en L 1 ?
Ça avait aussi été difficile l'an dernier. On avait pris deux points en cinq matches à cheval sur le mois de décembre et la reprise en janvier. On avait dégringolé de la cinquième à la dixième place, on avait perdu le fil. Je ne sais pas de quoi demain sera fait, mais mon expérience me fait dire que lorsqu'on garde un axe, qu'on est plein d'abnégation et qu'on bosse, ça finit par rebasculer sur du positif.
"On aurait pu faire venir des trentenaires pour performer à plus court terme, mais ce n'est pas ma mission ni la stratégie du club

De l'extérieur, on pourrait croire qu'il y avait davantage de tranquillité l'an dernier.
Je ne crois pas, au contraire. Un entraîneur doit toujours faire ses preuves, et je le perçois encore plus à Bordeaux qu'à Guingamp. Le traitement médiatique est différent et c'est normal : on est dans un grand club français, historique. Même lorsque ça marche bien, on est quand même critiqué. Il y a eu de très bonnes choses en début de saison, dans le contenu et la tenue de l'équipe, qui n'ont pas été suffisamment mises en valeur.
Parce qu'il était beaucoup question de Malcom-dépendance. Cela vous a agacé ?
Oui, quand même. Malcom est un joueur différent, l'un des meilleurs de L 1 et bientôt un grand joueur en Europe et dans son pays. Mais pour briller il a aussi besoin des autres. Pour moi, c'est très réducteur. Il y a quelques années, en L 2, j'avais entendu un entraîneur dire que Guingamp c'était Imbula et rien autour. 1/ Il aurait mieux fait de s'occuper de son équipe. 2/ Les faits ont montré qu'il y avait Imbula mais aussi d'autres joueurs. La preuve, on a continué à évoluer en L 1 sans lui.
Le fond du problème ne réside-t-il pas dans le fait que personne n'a pour l'instant réussi à prendre son relais ?
Il y a quelques joueurs qui maintiennent leur niveau, heureusement. Mais c'est vrai qu'on a quand même pas mal de joueurs qui ont baissé d'un cran. Ils doivent se lâcher un peu plus, retrouver de l'allant. Si on est moins bons aujourd'hui c'est parce qu'on est moins créatifs, moins tranchants.
Vous avez souvent répété votre ambition de développer un jeu qui "pétille".
Pour l'instant, avez-vous le sentiment d'être loin du compte ?
Aujourd'hui ce qu'on propose est insuffisant, mais ce qu'on construit petit à petit avec ce groupe doit nous emmener demain vers plus de performance. Évidemment, le plus tôt sera le mieux mais il ne faut pas oublier qu'on a bâti un effectif jeune. Forcément, sur une saison, ça coûte des points mais il faut assumer. On aurait pu faire venir des trentenaires pour performer à plus court terme, mais ce n'est pas ma mission ni la stratégie du club.
Dans votre situation, le jeu devient-il secondaire ?
Notre classement est ce qu'il est, on sait pourquoi on en est là, mais pour moi ça ne reste qu'une conséquence. Ce qui est important c'est ce qu'on met dans le contenu, l'exigence de la passe, parce que c'est ça qui relie les joueurs et qui fait la différence. Faire un extérieur du bout du pied de manière désinvolte, pour moi, c'est inconcevable.
Avec le recul, regrettez-vous que vos dirigeants aient fait du podium un objectif ?
Je ne crois pas que ça impacte le groupe et ça ne m'impacte pas moi. On est capables de joueur le haut de tableau. On a fini sixièmes l'an dernier, il faut faire au moins aussi bien cette année, c'est dans nos cordes. En tout cas, je ne l'ai pas ressenti comme une pression négative. J'ai toujours été très exigeant envers moi-même. Personne ni rien à l'extérieur ne peut m'imposer plus de pression que celle que je m'impose déjà moi-même.
"S'il y en a qui n'acceptent pas la concurrence, il faut qu'ils changent de métier

Vous aviez trouvé un onze type qui tournait à plein régime en seconde partie de saison dernière (voir page 18) . Pourquoi avoir décidé de le chambouler à ce point ?
Chaque cas est particulier. Il y a des demandes de joueurs, des fins de cycle, mais on a fait évoluer les choses de manière cohérente. La photo à l'instant T c'est qu'il y a des joueurs qui ne jouent pas à leur niveau, mais on ne peut pas dire fin août que le mercato des Girondins est intéressant et affirmer aujourd'hui que c'est un flop. Il faut se méfier des jugements définitifs. Je ne veux pas que la période actuelle remette tout en question.
Y a-t-il tout de même eu des erreurs de casting, pas nécessairement sur la valeur du joueur mais sur son profil ? On pense notamment à Nicolas De Préville…
Nico, c'est un choix vraiment assumé. Il lui manque un petit truc pour être en réussite mais c'est un garçon d'efforts, intelligent, un exemple pour ses équipiers dans son investissement pour l'équipe. Il a déjà connu des moments comme celui-là et ça a basculé parce qu'il a la bonne mentalité. Le plus tôt sera le mieux, mais il va passer ce cap-là parce qu'il a l'exigence.
Stéphane Mantey/LÉquipe

Vous ne doutez pas de sa capacité à s'imposer comme l'avant-centre des Girondins dans un système à une pointe ?
Je le connais depuis ses débuts à Istres. Sur quasiment sept ans, je l'ai vu tout faire à tous les postes et dans tous les dispositifs. Pour moi, son positionnement et le système sont un non-débat. Les ressorts, pour lui, ça ne sera pas là-dessus. C'est en lui, dans sa capacité à se faire plus confiance.
A contrario, certains joueurs comme Valentin Vada ou Gaëtan Laborde ont pu mal vivre de perdre subitement le crédit gagné l'an dernier…
Ce sont des questions qu'on se pose tout le temps. Mais si vous laissez des joueurs qui ont surperformé dans les mêmes dispositions avec un chèque en blanc, il y a de grandes chances qu'ils s'endorment. Il faut pouvoir stimuler son groupe et créer de la concurrence pour hausser le niveau. Ceux qui pensent qu'être plus souvent sur le banc que sur le terrain c'est une mauvaise chose, il faut qu'ils le montrent. Ça n'a pas toujours été le cas pour l'instant.
Le faible turn-over opéré en début de saison ne s'est-il pas opposé à votre principe, celui de "ne pas laisser de joueurs dans la nature"?
Je comprends la question, mais je ne suis pas là pour faire des cadeaux. Je suis pragmatique. Si un joueur joue moins, en général il sait pourquoi. Je ne vais pas non plus passer mon temps, toutes les semaines, à parler à ceux qui jouent moins. J'ai de l'attention pour eux mais je ne suis pas fou, je m'appuie sur le onze le plus costaud du moment.
Joueur, à Marseille, vous mettiez à profit vos passages sur le banc pour analyser l'adversaire et les lacunes de votre équipe, pour apporter un vrai plus en entrant en jeu. C'est ce qui vous manque ici ?
C'est sûr que j'ai passé une année là-bas (1998-1999) à poser des problèmes à mon entraîneur. Je n'avais pas le temps de jeu que je voulais, mais je n'avais pas d'autre choix que de lui montrer qu'il (Rolland Courbis)se trompait. Si mes joueurs veulent être dans la réflexion, je les y invite. Et s'il y en a qui n'acceptent pas la concurrence, il faut qu'ils changent de métier. Marseille, c'est aussi le match de ce soir. Avez-vous l'impression de jouer gros ? Non. Marseille a une meilleure dynamique que nous mais à un moment donné les choses s'arrêtent. On n'avait pas perdu pendant quatorze matches à cheval sur deux saisons (enL1), on a perdu le quinzième au Parc et on ne nous a parlé que de celui-là. Aujourd'hui, il y a un super match à préparer dans un stade qui sera presque plein, avec l'envie de retrouver une dynamique. Il n'y a à penser qu'à ça. » '

Merci guiz: clair et net comme le plus souvent avec J.Gourvennec. Sur la question du jeu qui pétille, il répond par "la performance": il est passé d'un 4/4/2 à un 4/3/3 mais ses 3 milieux sont plutôt défensifs avec Sankharé qui se projette. Le passage sur "le coup de gueule qui ne peut pas être un ressort permanent" et "la nécessité d'avoir des convictions" résonne fortement quand on voit comment ça se passe pour nous en ce moment...

tostao a écrit:

Alain Thiboult,capitaine et joueur exemplaire d'EAG que j'ai beaucoup apprécié !

je plussune
et en plus très élégant sur un terrain

Thibout, un milieu déf qui ne mettait pas de taquets, qui ne taclait pratiquement jamais, qui ne prenait pratiquement aucun carton mais qui était un des meilleurs à son poste. Joueur très élégant et très intelligent.