[Divers] Nos anciens

http://www.topmercato.com/138148,1/strasbourg---douniama-file-en-arabie-saoudite-officiel.html

DaleCavese a écrit:

Sankharé s'est dit responsable de défaite du LOSC ce soir contre Toulouse à cause de sa passe interceptée qui offre le but de la victoire au téfécé (info canal).

Je lui donne carte blanche pour rééditer la même connerie lors de ses retrouvailles avec le roudoudou. 

SANSUITE a écrit:

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Merci pour l'info Sansuite
bonne chance à Doudou

SANSUITE a écrit:

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En voilà un qui veut voir du pays LoL !
mais faut bien gagner sa croûte ... Bonne chance Doudou !

Interview de JG dans lequipe de mercredi. Désolé pour le retard!

JOCELYN GOURVENNEC

«Je suis payé pour ça»
ANTOINE MAUMON DE LONGEVIALLE

Jocelyn Gourvennec a rejoint Bordeaux cet été après six saisons passées à Guingamp. Bernard Le Bars/L'Équipe
L'ENTRAÎNEUR DE BORDEAUX RACONTE SES DÉBUTS SUR LE BANC DES GIRONDINS, OÙ IL A DÉJÀ PRIS DES DÉCISIONS FORTES, COMME REPLACER CÉDRIC CARRASSO DANS LE BUT.

BORDEAUX -­ Jocelyn Gourvennec aurait « peut-être visité l'opéra ou la cathédrale », comme il avait découvert la prison désaffectée de Guingamp, quand il entraînait en Bretagne. Mais, entre la réception d'Angers (0-1), samedi, et un déplacement à Metz, aujourd'hui, le nouvel entraîneur de Bordeaux n'a pas pu profiter des Journées du patrimoine, ce week-end. Depuis son arrivée en Gironde, cet été, le technicien (44 ans) n'a pas encore eu le temps de découvrir une ville où il est attendu après six années fructueuses à l'EAG, pour sa première expérience dans un club censé jouer le haut du tableau.

L'ADAPTATIONÀBORDEAUX « Quatre mois après votre arrivée à Bordeaux, trouvez-vous la ville et son club aussi tranquilles que l'image qu'on leur prête ?

Je ne trouve pas que ce soit tranquille. Le groupe est vivant, il faut le gérer. Comme dans tout effectif, il y a des joueurs qui sont exigeants, qui ont des statuts et il faut manager tout ça. L'environnement, je le trouve assez tonique. Il y a des villes où les publics sont "soft" et assez calmes, ce n'est pas le cas à Bordeaux. Je le trouve très exigeant et réactif. On est dans un club qui a une histoire, qui a gagné des titres. Que la ville ait une réputation de ville où il fait bon vivre, c'est vrai. Mais je suis dans un club de compétiteurs.

Avec trois victoires et deux défaites en Championnat, comment peut-on qualifier ce début de saison ?

Ce qui est un petit peu dommage, c'est de ne pas bonifier la victoire à Lyon (3-1, le 10 septembre ; Bordeaux s'est incliné samedi dernier face à Angers, 0-1). Au-delà des résultats, ce début de saison est très bon dans ce qu'on a réussi à remettre en place par rapport à la saison dernière. Il y a eu des départs et des arrivées qui nous ont permis d'orienter l'effectif sur des caractéristiques différentes. On a eu l'adhésion du groupe. Sur le match de samedi, même si on n'a pas réussi à revenir au score, on est restés équilibrés, on a gardé notre structure, ce n'est pas parti dans tous les sens.

Que fait-on différemment quand on est entraîneur à Bordeaux plutôt qu'à Guingamp ?

La trame reste la même : manager un groupe, le fédérer, emmener un staff avec soi. Ce qui change, ce sont les moyens du club, ses ambitions, son environnement, qui est encore plus exigeant. Je peux faire aujourd'hui plus de choses parce que l'effectif a un niveau supérieur, notamment sur le plan technique. Ce qu'on peut proposer prend plus de relief.

Un exemple ?

On aurait été incapables (à Guingamp), l'année dernière ou les années d'avant, de faire par séquences ce qu'on a fait sur un demiterrain à Lyon, en préparant des actions et en jouant face à un adversaire très bas. Pour ça, il faut avoir un niveau technique supérieur, ce qu'on a. Quand on est entraîneur, on a ses principes, mais il faut aussi être intelligent et bien connaître son groupe pour savoir ce qu'on peut faire et ne pas faire.

Est-ce qu'il y a plus de résistances dans un club comme celui-ci, par rapport à un autre plus petit avec plus de marge de manoeuvre ?

Non, mais je repars sur un nouveau cycle, donc je retrouve ce que j'avais trouvé à Guingamp au "début : il faut se faire connaître. Les joueurs vous observent toujours beaucoup et scrutent vos réactions. Il faut "impacter" le groupe sur une attitude, un discours qui doit montrer un axe. Il se passe des choses dans une saison, on peut prendre une gifle comme à Toulouse (1-4, 2e journée). Mais l'important, c'est que le groupe sente derrière que l'entraîneur garde son axe.
6 Jocelyn Gourvennec est le sixième entraîneur de Bordeaux depuis le départ de Laurent Blanc en 2010. Il succède à Jean Tigana, Éric Bédouet, Francis Gillot, Willy Sagnol et Ulrich Ramé. Ménez ? Ces sautes d'humeur-là, ce n'est pas à vingt-neuf ans qu'on va les gommer"

LA GESTION DES GARDIENS

Quel a été votre choix le plus difficile depuis votre arrivée ?

Remettre Cédric (Carrasso) dans le but au troisième match, donc prendre la décision forte d'enlever Jérôme (Prior). Au bout du troisième match, c'est très court, mais les événements et les faits m'ont poussé à ça. C'était important pour moi de prendre mes responsabilités. Je suis payé pour ça.

La difficulté, c'était peut-être de perdre Jérôme Prior sans savoir quel serait l'état de forme de Cédric Carrasso après huit mois sans jouer...

C'est vrai... Mais, de toute façon, pour moi, c'était évident que Cédric ne pouvait pas débuter le Championnat. C'était trop neuf, trop "short". C'était évident. Je ne comprends pas qu'il y ait eu débat là-dessus. Après, Jérôme n'a pas été suffisamment performant. C'est la loi du sport et de la concurrence.

Et comment se passe la cohabitation entre les trois gardiens (Carrasso, Prior et Bernardoni, champion d'Europe cet été avec les moins de 19 ans) ?

Très bien. À partir du moment où les choses sont dites et expliquées... Qu'ils soient d'accord ou pas, c'est autre chose, mais dans mon management je fais toujours en sorte que les choses soient très claires. Je fais en sorte de ne pas laisser de joueurs dans la nature parce qu'une saison on la fait avec un effectif, pas avec onze ou quatorze titulaires.

SON MANAGEMENT

Quel ingrédient qui vous ressemble avez-vous eu le temps de mettre dans cette équipe ? uu

L'exigence. À tous les niveaux, tous les jours, tout le temps. On finit un entraînement, il n'y a pas une bouteille d'eau qui reste sur le terrain. Quand on dit qu'on est à telle heure au vestiaire, tout le monde y est à l'heure. C'est une mentalité. Les joueurs ont très bien répondu. Ce que je veux, c'est qu'on ait un cadre bien défini et très exigeant avec, à l'intérieur, l'envie de prendre du plaisir, de jouer et de se réaliser dans son métier.

Comment jugez-vous l'analogie souvent établie entre Jérémy Ménez et Hatem Ben Arfa ?

Ce qui les rapproche, c'est que ce sont des joueurs de classe, capables de faire des choses que peu font. Les deux dans des registres un peu différents, encore que. Il y a aussi l'étiquette qu'on leur a collée de joueurs difficilement gérables. Je ne connais pas Hatem. Je n'ai pas l'image de lui d'un mauvais garçon, loin de là, comme pour Jérémy. Jérémy est un peu victime de ses sautes d'humeur et du fait que ça se voit quand il n'est pas content. Mais il a un bon fond, il est respectueux. Après, ces sautes d'humeur-là, ce n'est pas à vingt-neuf ans qu'on va les gommer. Mon rôle ­ comme a sûrement été celui de Claude (Puel) avec Hatem ­ c'est de canaliser Jérémy pour qu'il se sente le mieux possible et qu'il serve l'équipe. Ce sont des joueurs qui demandent une attention particulière, mais ce sont aussi des joueurs différents, et il faut l'accepter, à partir du moment où ils sont dans le respect du groupe.

On a beaucoup pointé un mal récurrent à Bordeaux : celui de réussir face aux gros, mais beaucoup moins face aux petits. Ce début de saison offre la même lecture...

C'est le constat du moment. Mais, dans l'état d'esprit, on sera plus accrocheurs, avec peut-être moins de talent, mais on sera présents, j'en suis persuadé. On a montré de bonnes choses depuis le début de saison. On a un profil différent des années précédentes. C'est le temps qui montrera où peut aller ce groupe-là. Il est jeune et demandeur, il a de l'envie, donc ça devrait nous emmener sur de la progression. Après, entre la progression sur un premier tiers de classement et encore un peu plus haut, il y a une différence. J'espère qu'on ira le plus haut possible. »

Oui bonne chance à Kirikou. On oubliera pas de sitôt ses déboulés rageurs dans les surfaces adverses et sa façon qu'il avait d'enflammer le roudourou.

Bonne chance à lui, c'est une belle opportunité pour lui de décrocher un gros contrat avant la fin de sa carrière

Merci guiz pour l'article sur Jocelyn.

Sinon but de Rachid Alioui contre le GFC Ajaccio.

MERCI Guiz pour l'article , oui bonne chance a lui , mais pour ma part je suis passé a autre chose ....

Oui, il s'appelle AK

En même temps ici c'est le rubrique "nos anciens"

Tout à fait!

Tout à fait "guiz" , merci pour l'article .
Pour ma part je ne suis pas prêt de tirer un trait sur l'époque Gourvennec , comme je n'ai pas tirer de trait sur les "bons" anciens de l'EAG , et ça fait une paille que ça dure .... 

moi non plus je ne tire pas un trait sur le parcours JG a EAG ! pas plus que celui de bien d'autres ....  mais a un moment faut passer a autre chose ....je ne suis pas un "nostalgique" ...

J'ai eu du mal à voir partir JG mais maintenant c'est terminé. Il est à Bordeaux et j'espère bien qu'on leur mettra une pilée lorsqu'ils viendront au roudourou.

exactement , c'est vrai son départ nous a un peu "sonné" mais finalement je pense que c'était le moment pour lui et le club de se séparer ,on a tourné une page ... et maintenant bonne chance a lui et son formidable staf et allez EAG 

on digère d'autant plus facilement que depuis l'arrivée d'AK les résultats sont la...