[MPG] - LIGUE 1

Sinon ,Supprimez moi du jeu , je comprendrai y'a pas de soucis.

Partant vendredi après-midi jusqu'à lundi, on lancera à ton retour dionysos  

Avec un peu de "chance" certaines de nos recrues auront quitté le championnat et des ajustements seront à faire.

Ok merci c'est cool  mais pas de probléme si d 'autres râlent c'est normal n'hésitez à le faire.

Mercato terminé et encore vraiment désolé pour l'attente.

Paul, Steven et Jeremy à vous de jouer !

Beau ballon de Mouss pour Bouanga et Nîmes mène 1/0 contre l’OM.

Paul et Steven plus que 3 jours sinon on perd à nouveau 1 semaine ...

Plus que Paul ...

Hooly, Steven et Loic pour boucler le tour 5

Steven il reste 2 jours.

Un dernier effort Hooly et on est bons !

LE VAR EN L 1, MODE D’EMPLOI

Ce que voient les spectateurs au stade
En cas de recours au VAR, le message « Assistance vidéo en cours » s’affiche sur l’écran géant du stade. Une fois la décision finale prise, elle s’affiche au même endroit. Par exemple : « But annulé – Hors-jeu ».
Le VAR se situe dans un van, à l’extérieur du stade, qui comprend :
un assistant vidéo principal (un arbitre de Ligue 1)
un arbitre auxiliaire (un arbitre de L 1, ou de L 2, ou un ancien arbitre)
ils sont assistés de deux techniciens un pour l’image et un pour le son.
Leur mission : ils analysent les images et communiquent avec l’arbitre de terrain.
Le système informatique Hawk-Eye traite les images issues de la production TV pour le VAR et pour la goal-line technology (franchissement de la ligne de but par le ballon).
Ce que voient les téléspectateurs

Le réalisateur TV, qui dispose de l’écran multiple (utilisé par le VAR) et des images de la caméra Hawk-Eye, est libre de montrer les images ayant été probantes pour les arbitres. Après l’analyse, mais pas pendant.
SEULEMENT QUATRE CAS DE RECOURS POSSIBLES Les quatre cas de figure dan lesquels le VAR peut intervenir :

1. sur un but marqué,validé ou non
2. sur une situationde penalty, sifflé ou non
3. sur une expulsiondirecte (pas de deuxième carton jaune)
4. sur une erreur d’identitédu joueur sanctionné.
DES RÈGLES STRICTES – L’arbitre doit toujours prendre une décision avant d’avoir recours à l’assistance vidéo.
– La décision initiale de l’arbitre est clairement erronée ? Pour que soit modifiée cette décision initiale, le VAR doit disposer d’images probantes et incontestables démontrant une erreur évidente et claire.
– L’arbitre reste le dernier décisionnaire et peut donc modifier ou confirmer son premier jugement après un recours au VAR – Une décision ne pourra pas être modifiée si le jeu a repris, d’où l’importance de retarder la reprise du jeu, ne serait-ce que de quelques secondes. Seule exception : un cas de brutalité, non détectée par l’arbitre, peut être jugé plus tard.
– Les reprises de jeu ne peuvent pas être visionnées : but accordé après une fausse touche, corner tiré alors que le ballon n’était pas dans le quart de cercle, coup franc joué alors que le ballon n’était pas arrêté…
– Seul le capitaine d’une équipe est autorisé à dialoguer avec l’arbitre en cas de situation ou décision avec le VAR.
LES QUATRE ÉTAPES

1. Le contrôlesilencieux. L’assistant vidéo contrôle silencieusement, et en permanence, les quatre cas de figure dans lesquels le VAR peut intervenir.
2. Le contrôleoreillette
L’assistant vidéo communique avec l’arbitre en cas de contrôle nécessitant de retarder a reprise du jeu. L’arbitre met son doigt sur l’oreillette pour montrer qu’il est en communication avec l’assistant vidéo.
3. Le visionnagesimple. L’arbitre suit les conseils du VAR et ne visionne pas les images, uniquement en cas de situation factuelle du protocole (but marqué, situations de penalty et de carton rouge direct) :
- hors-jeu simple ;
- franchissement de ligne (sortie de ballon, but…) ;
- situation de penalty (uniquement pour l’endroit où la faute a été commise).
4. Le visionnageterrain L’assistant envoie les images à l’arbitre central sur le moniteur en bord de terrain en cas de :
– situation de penalty ; – situation de carton rouge direct ; – toutes les situations du protocole à interprétation.
Ce que signifie le geste « de l’écran » L’arbitre accomplit ce geste dans deux cas :
– pour indiquer qu’il va voir la vidéo en bord de terrain, s’agissant de faits de jeu subjectifs. Puis il refait le geste en quittant le moniteur pour annoncer la correction de sa décision initiale,
s’il décide la corriger ; – pour annoncer la correction de sa décision sur des faits de jeu factuels, sans passer par un visionnage sur le moniteur en bord de terrain. Ce fut par exemple le cas à Dijon, samedi (penalty annulé et coup franc, voir par ailleurs).

L’ÉQUIPE

Des hauts et débats

Document LFP
Retour sur quatre cas qui ont marqué les débuts du VAR en Ligue 1 et qui permettent de mieux comprendre son utilisation.

La main d'Amian devant Germain Marseille - Toulouse (4-0, le 10 août)

Le match d’ouverture de la saison 2018-2019 a aussi inauguré l’utilisation du VAR en L 1. À la 40e minute, la tête de Germain, qui semble prendre la direction du but, est contrée par la main d’Amian, de façon involontaire, dans la surface. L’arbitre, Ruddy Buquet, est alerté par l’assistant vidéo, va visionner les images et accorde finalement un penalty à l’OM. En revanche, une action similaire, lors de Caen - Nice (1-1), huit jours plus tard, n’a pas débouché sur la même décision. La main d’Hérelle a détourné une tête de Tchokounté dans la surface (25e). Pour son deuxième match de L 1, le jeune Éric Wattellier (30 ans)
fait appel au VAR qui, après une minute et trente secondes, lui stipule qu’il n’y a pas penalty. « J’ai revu les images, la main est quand même bien décollée, a estimé Paul Baysse, le défenseur normand sanctionné ensuite, alors qu’il pensait avoir marqué de la tête. Sur mon but, je trouve la faute un peu sévère. Je ne sais pas vraiment ce qui est sifflé. Après, ça fait partie du jeu. » Celui, parfois, de l’interprétation et, surtout, de la non-uniformisation des décisions, comme le regretteront certains. Des débats qui existaient avant l’introduction du VAR et persisteront donc. Au final, c’est toujours l’arbitre qui tranche.
Une si longue attente Guingamp - Paris-SG (1-3, le 18 août)

Une éternité. C’est bien ce qui a paru aux acteurs de cette rencontre, quand trois minutes et cinquante et une secondes se sont écoulées entre le moment où l’arbitre, Clément Turpin, a sifflé pour annuler le but du Guingampais Benezet (25e) et celui où il a confirmé sa décision après le recours au VAR. Sur cette action, il a d’abord fallu s’assurer que Coco n’était pas hors jeu, avant de juger d’une faute éventuelle. « Mieux vaut que ce soit un peu trop long, mais que la décision finale soit bonne, rappelle Pascal Garibian, le directeur technique de l’arbitrage. Mais, près de quatre minutes, ça reste évidemment trop long. Sur ce cas précis, les arbitres doivent mieux communiquer. »
Les Bretons, à l’issue de la rencontre, ne se sont pas privés de le faire remarquer, d’autant qu’ils auraient souhaité un recours au VAR quand Meunier a déséquilibré Coco dans la surface (79e). « Ce n’était pas un grand soir pour l’arbitrage vidéo, s’est plaint Bertrand Desplat, le président de l’En Avant. Il va falloir que l’arbitrage s’y mette rapidement. » De son côté, sur le ton de l’humour, Nicolas Benezet a tweeté, lundi, une photo de lui en match, un doigt sur l’oreille gauche, avec ce commentaire : « Le VAR me confirme bien que ce maillot est à gagner. RT ce tweet pour tenter de le gagner avant que M. Turpin ne l’annule… »
Rouge, pas penalty Dijon - Nantes (2-0, le 18 août)

À la 76e minute, le Dijonnais Tavares part au but, est légèrement accroché par le Nantais Touré et tombe dans la surface. Dans un premier temps, l’arbitre Jérémy Stinat siffle le penalty. Puis, la main sur l’oreillette, il utilise le visionnage simple. Qui lui indique que la faute a été commise à l’extérieur de la surface. Conséquence : le penalty se transforme en coup franc direct et Touré, qui n’aurait pas été expulsé en cas de penalty – car la double peine n’existe plus –, reçoit un carton rouge pour anéantissement d’une action de but. Soit deux cas de figure concernant le VAR : situation de penalty et expulsion directe.
Un retard qui coûte cher Nîmes - Marseille (3-1, le 19 août)

Un dysfonctionnement du VAR a clairement eu lieu. Alors que les Gardois venaient d’ouvrir le score (34e), le Nîmois Savanier a tiré le maillot de Germain dans la surface, sans que l’arbitre Bruno Bastien siffle le penalty qui s’imposait (37e). Parce qu’il ne l’a pas vu. Et que ses assistants vidéo n’ont pas été assez prompts à le lui signaler. Une décision ne peut être modifiée si le jeu a repris, ce qui s’est produit, puisqu’une touche a été effectuée, une vingtaine de secondes plus tard. Le VAR aurait dû demander à l’arbitre de patienter avant la reprise du jeu, le temps d’analyser les images. « Il y a eu un problème de communication », reconnaît Garibian.

L’ÉQUIPE

thierry henry dis oui a bordeaux !

C'est le topic Mon Petit Gazon, la L1 est dans Football National et International  :gne2:

Quand je vous dit qu'il faudrait un topic qui regrouperait tous les jeux et prono ...