[Divers] Nos anciens

Remfan a écrit:

Perso, je suis pas fan du réchauffé

Moi non plus...

Et puis ce ne serait pas du tout cohérent si on arrive à passer un cap.

Imbula à Levante ?

http://www.football.fr/transferts/articles/mercato-stoke-imbula-a-levante-1064698/

Itchy a écrit:

Et puis ce ne serait pas du tout cohérent si on arrive à passer un cap.

Tout dépend ce que tu entends par passer un cap.

ccoquille a écrit:

Itchy a écrit:

Et puis ce ne serait pas du tout cohérent si on arrive à passer un cap.

Tout dépend ce que tu entends par passer un cap.

Disons que si on termine dans les dix premiers, un cap aura été franchi.

Itw de grenier dans lequipe.


Clément Grenier

« J’ai montré aux sceptiques que tout allait bien »
JOHAN RIGAUD

Bernard Le Bars/LÉquipe
Le milieu de terrain rennais espère poursuivre sur sa lancée de Guingamp pour remonter vers le haut niveau qu’il a connu à Lyon.

Rennes est le quatrième club dans la carrière de Clément Grenier après Lyon, l’AS Rome (janvier-mai 2017, en prêt, 6 matches) et Guingamp (janviermai 2018). À Lyon, qui l’a formé, le milieu offensif aura tout connu, des bons moments qui l’ont emmené en équipe de France (5 sélections en 2013 et 2014), des périodes de blessures et des périodes sans blessure mais sans jouer. C’est ce qui s’était passé la saison passée, c’est pour ça qu’il était parti plus bas, à Guingamp, en janvier. Il s’y est relancé et a signé trois ans à Rennes le mois dernier en espérant s’épanouir de nouveau. C’est en poussant une chanson de chez lui, ardéchoise, qu’il a signé son bizutage, en attendant ses coups de patte. « Il nous faut être bons dès la première journée (à Lille, samedi) pour pouvoir lancer le Championnat, dit-il. La Ligue Europa, ce sera du bonus. »
« Peut-on parler de renaissance s’agissant de votre passage à Guingamp ?
Je ne sais pas si c’était une renaissance, mais c’était un passage de ma carrière important parce qu’il m’a permis de prendre du plaisir, d’être bon, d’être à mon niveau, ce que j’attendais depuis un certain temps. Grâce à la confiance du coach (Antoine) Kombouaré, j’ai pu m’exprimer et plutôt être performant. C’était l’objectif, il a été réussi.
Plusieurs clubs vous voulaient en janvier, comme Guingamp mais aussi Toulouse, Nantes…
Oui, il y avait plusieurs opportunités. Ce n’était pas un choix évident parce qu’étant formé à Lyon, ayant joué à Lyon, en étant devenu international puis avoir connu un peu la Roma, ce n’est jamais évident de prendre ce risque. Mais j’ai été reçu par des partenaires qui ont été top avec moi, qui m’ont aussi permis de m’exprimer très rapidement au meilleur niveau. À Lyon, je n’avais plus de temps de jeu et pas du tout ma chance, mais j’ai continué à travailler en me disant que tôt ou tard, ça paierait. Encore une fois, ce n’était pas évident, car on change de catégorie, avec tout le respect que j’ai pour Guingamp bien sûr, mais je n’avais pas perdu confiance en mes qualités et ça s’est plutôt bien déroulé.
Vous aviez aussi plus d’assurance de jouer qu’à l’AS Rome.
Oui, ce fut une superbe expérience sur le plan du foot et culturel, mais après, ce n’était pas simple, car on arrive dans un club avec de grands joueurs, tous internationaux, qui se connaissent très bien, parlent la même langue et moi, j’arrivais sans vraiment parler l’italien. Mais j’ai beaucoup progressé et appris à leurs côtés, ça m’a permis aussi de revenir et d’être encore plus fort mentalement et physiquement. À Guingamp, j’ai montré aux sceptiques que tout allait bien et que je pouvais être performant très rapidement.
Comment Rennes s’est-il imposé dans votre esprit ?
Le président (Olivier) Létang et le coach (Sabri) Lamouchi ont connu le très haut niveau. Les relations se sont créées assez rapidement, on a parlé le même foot.
“Je pense que j’étais revenu à un très bon niveau (à Lyon) mais je n’ai pas eu la chance de pouvoir le démontrer sur le terrain, c’est pour ça que j’ai dû le démontrer ailleurs,,
Vous allez être utilisé en 8 et en 10 ?
Oui, les deux sont possibles. J’ai joué en 10 à Guingamp, ça faisait longtemps et ça s’est bien passé. J’étais plutôt relayeur à Lyon et Rome, donc je connais bien ces postes. Après, j’ai toujours été un joueur de collectif, mon jeu n’a pas vraiment changé, c’est pouvoir faire jouer les autres, avoir un équilibre d’équipe, essayer d’être intelligent dans le jeu.
Comment mesurez-vous le niveau de votre équipe ?
Il y a de la qualité, il faut savoir s’en servir. Il y a beaucoup de bons joueurs, certains avec plus d’expérience que d’autres mais il y a un bon mélange, un potentiel pour être le plus régulier possible cette saison. On sent une vraie dynamique positive, avec de la concentration, de l’envie et du relâchement.
Devez-vous être aussi important que Wahbi Khazri ?
Je ne suis pas là pour remplacer quelqu’un. C’est toujours difficile de comparer les joueurs. Wahbi est quelqu’un que je connais, qui a pris énormément de plaisir avec cette équipe et a été très performant. Je suis là pour apporter le maximum collectivement. J’ai la chance d’avoir un peu d’expérience, chacun a ses qualités et je crois qu’il faut se projeter sur cette saison et pas sur celle qui vient de se passer.
Que vous reste-t-il de Lyon ?
J’y ai fait ce que j’avais à faire. J’ai commencé très tôt, j’ai réussi de très belles saisons. Sur la fin, c’était plus compliqué, des blessures m’ont évidemment retardé. Je pense que j’étais revenu à un très bon niveau mais je n’ai pas eu la chance de pouvoir le démontrer sur le terrain, c’est pour ça que j’ai dû le démontrer ailleurs. C’était un choix de leur part, j’ai pris la décision de partir pour montrer que j’étais bien en forme.
Vous en voulez à Bruno Genesio ?
Non, je suis passé à autre chose, je ne m’arrête pas à ça. J’ai vingt-sept ans, je suis en pleine possession de mes moyens, c’est bien ça qui compte.
La période sans être blessé et sans jouer a été la plus douloureuse ?
Oui, mais j’ai continué à travailler, je n’ai pas boudé. Il faut se dire que ça fait partie du jeu. Il y a des moments merveilleux, d’autres plus difficiles, il faut juste être prêt mentalement à s’y confronter. Donc au bout du compte, Lyon restera mon club formateur, l’endroit où j’ai pu commencer ma carrière et aller en équipe de France. »

Jimmy Briand, l’attaquant qui évoluait à Guingamp la saison passée, semble se rapprocher sérieusement des Girondins.

Guingamp n’acceptera pas si facilement ce deal. Le club breton, qui avait libéré Briand pour que celui-ci s’engage à Montréal (affaire qui a finalement capoté), aurait un accord moral avec le joueur pour ne pas que celui-ci s’engage en Ligue 1.

https://www.butfootballclub.fr/ligue-1/bordeaux/girondins-mercato-le-dossier-jimmy-briand-boucle-dans-les-jours-qui-viennent/

À Bordeaux d’être Briand

Le club girondin va tenter de s’ouvrir la route des barrages contre Marioupol.

Stéphane Martin ne faisait pas partie de la délégation bordelaise qui s’est envolée hier matin pour Odessa, où les Girondins défient ce soir le FC Marioupol. Le président est resté au Haillan pour gérer les affaires courantes : l’accueil de Toma Basic (voir par ailleurs), mais aussi le chantier de l’attaquant. Révélée par L’Équipe, la piste menant à Jimmy Briand (33 ans) se serait nettement réchauffée ces dernières heures. Un dénouement est attendu avant la fin de la semaine alors que l’En Avant Guingamp pourrait également avoir son mot à dire.
Dans l’esprit des dirigeants bordelais, l’attaquant est libre depuis son transfert avorté à l’Impact Montréal. Le hic ? Un accord moral avec l’EAG aurait été scellé au moment de son départ pour qu’il ne s’engage pas avec un autre club de L 1. C’est en tout cas la version défendue par Bertrand Desplat, le président de l’En Avant, qui nous avait confié, le 30 juillet, que son club saurait faire valoir ses droits.
En attendant, Martin aura forcément un œil sur la prestation de ses joueurs ce soir. « Un nouveau tour casse-gueule, dit-il en référence à l’affront subi face aux Hongrois de Vidéoton au même stade de la compétition, l’an dernier (2-1, 0-1). Les joueurs sont méfiants. Normalement, on est favoris, mais il faut le justifier sur le terrain. » Ou plutôt sur le champ de patates sur lequel les Girondins évolueront ce soir. « À nous d’imposer notre rythme et montrer qu’on est là pour faire quelque chose », a exhorté Maxime Poundjé. « Il faudra faire le maximum pour avoir un petit avantage avant le match retour », a prolongé Gustavo Poyet. Contre une formation qui évoluait encore en D 2 ukrainienne il y a deux ans, a priori plus solide défensivement que ne l’était Ventspils au tour précédent (1-0, 2-1), l’entraîneur uruguayen ne devrait pas procéder à des gros bouleversements. Le principal changement est attendu en attaque où Gaëtan Laborde pourrait suppléer Nicolas De Préville

L’Équipe

Si ça se fait on c'est quand même bien fait encule sur ce coup la, le mec il part alors qu'il a pas de bon de sortie, le club aurait put le vendre beaucoup plus chère à d'autres clubs mais accepte de baisser son prix pour qu'il aille à Montréal en lui disant qu'il ne signera pas en ligue 1.
Finalement le jimbo il va rien nous rapporter et en plus il va signer ailleurs à la concurrence.

Honnêtement je le sifflerais pas si il revient au roudourou, mais qu'il s'attendent pas à beaucoup d applaudissements du public si il nous fait un coup comme ça je pense

Moi, si cela se vérifie, je ne serai pas aussi clément que toi...
Je déteste l'injustice...

Je vais attendre de connaître la fin de l'histoire avant de parler de ca personnellement.

Si il part à Bordeaux nul doute que BD va mettre ça dans les mains de la justice..

guiz a écrit:

Je vais attendre de connaître la fin de l'histoire avant de parler de ca personnellement.

idem, on a pu lire beaucoup (trop) de jugements définitifs, y compris sur ce forum, sur un joueur qui a énormément apporté au club.

Un accord moral reste un accord moral....
Si le fait qu'il ne doive pas s'engager avec un autre club de L1 a été écrit, alors l'EAG pourra se défendre. Si cet accord est uniquement moral (donc non écrit), alors libre au joueur de le respecter ou pas. Tout dépendra de sa mentalité, mais dans le milieu du foot, je doute fort que des joueurs aient une bonne mentalité quand il s'agit de leur carrière et du pognon (surtout à 33 ans, proche de la fin de carrière).
En tout cas, s'il signe à Bordeaux, on pourra dire qu'on s'est bien fait enfler à vouloir être trop bons! Que ça serve de leçon au staff.
Briand était persuadé que son transfert à Montréal était réglé. Au final, ça ne marche pas et il se retrouve devant ce dilemme : je respecte l'accord moral et je signe un contrat en D2 espagnole ou en L2 avec un salaire de 20.000 euros max par mois, ou je ne respecte pas l'accord et je vais à Bordeaux pour jouer l'Europe et avec un salaire dans les 60.000 (vois plus) par mois. Combien signeraient à Bordeaux?
L'EAG a donné le bâton pour se faire battre. On n'a que ce qu'on mérite.