[Football] La Ligue 1

quoique les roud boys ne sont pas loin avec leur suggestion dvd pour Halloween

Démission de Ruello

Oh le tragi comique. Il nous tourne ca en démission apres bien victoire.
Chapeau l'artiste.
Viré et rien d'autre.

C'est surtout hallucinant lorsque l'on lit le communiqué qu'il a publié cet après-midi.

Létang président à la place de Ruello

https://m.lequipe.fr/Football/Actualites/Olivier-letang-nomme-president-de-rennes/847858?xtref=http:%2F%2Fwww.lequipe.fr%2F&xtref=http:%2F%2Fwww.lequipe.fr%2F¤xtref§http:%2F%2Fwww.lequipe.fr%2F

Wahou ils sont fort les Pinault. En 12h ils ont deja le remplacant de ruello qui a démissionné contre toute attente...

Gourcuff se dit écoeuré de ce qui se passe au stade rennais depuis un mois.
Il se retrouve orphelin de son président préféré. Va t'il démissionner lui aussi ? mdr

on va donc conclure qu'il a été démissionné par Pinault histoire de lui laissé une sortie honorable. "De toute façon j’arrêtais cet été a la fin de mon mandat"... menteur tu aurais continué si tu avais pu , enfin un pote à nous de moins sur la scène de L1

source ouest france :
L’entraîneur du Stade Rennais Christian Gourcuff s’est dit écœuré par l’annonce de la démission du président René Ruello, officialisée quelques instants après la victoire des Rennais face à Bordeaux en ouverture de la 12e journée de Ligue 1. Le technicien breton n’a pas mâché ses mots et est resté évasif sur son avenir au sein du projet du Stade Rennais « remis en question » selon lui. Le Stade Rennais a nommé Olivier Létang président délégué et manager général.

L’entraîneur de Rennes Christian Gourcuff s’est dit « écœuré » par l’annonce de la démission du président René Ruello, qu’il a apprise après la presse, vendredi, tout en restant évasif sur son propre avenir. « Je viens de l’apprendre, je suis écœuré, écœuré de ce qui se passe depuis un mois ici », a déclaré le technicien, visiblement ému.

« (René Ruello) a eu la délicatesse de ne pas me le dire avant le match. Je l’ai appris après vous, la presse », a précisé M. Gourcuff. Un peu plus tôt, le dirigeant avait annoncé par voie de communiqué qu’il allait présenter sa démission lors d’un futur Conseil d’Administration du club le 7 novembre.

« Je suis venu ici pour un projet de club, une identité de jeu qui se met en place, je pense […] Ce projet de club pour lequel je suis venu, évidemment avec la démission du président, est remis en question », a poursuivi l’entraîneur, qui reste sur quatre victoires de rang, toutes compétitions confondues avec son équipe, dont la dernière vendredi soir contre Bordeaux (1-0).
« On avait la chance d’avoir un président intelligent, cultivé, qui connaît le foot, parce que c’est un ancien joueur, ce qui est assez unique actuellement dans le football, donc pour le Stade Rennais c’était beaucoup de chance », a souligné Christian Gourcuff, un ami personnel de longue date de René Ruello, qui l’avait déjà fait venir lors de la saison 2001/2002 à Rennes. Le duo n’avait pas survécu à la saison très médiocre de Rennes à l’époque.

Une heure plus tard, le club a annoncé l’arrivée d’Olivier Létang, ancien directeur sportif du Paris SG, au poste de président délégué et manager général du club. Le coach, qui n’avait pas encore connaissance de cette annonce, n’a pas souhaité se prononcer clairement sur son avenir. « J’attends de voir dans les prochaines semaines ce qui va se passer, mais dans la vie il faut avoir des valeurs dans les convictions, dans l’honnêteté et ça, il y en a de moins en moins », a-t-il conclu.

Stade Rennais. Retour sur 19 ans de gouvernance de la famille Pinault
Jacques GUYADER.  
Repreneur du Stade Rennais en 1998, François Pinault, puis son fils François-Henri, ont pris toutes les décisions stratégiques. Avec moins de réussite ces dix dernières années.
Lorsqu’il décide, à la demande du maire de Rennes, de se porter acquéreur du Stade Rennais en 1998, le richissime homme d’affaires breton François Pinault prend une décision qui sauvera probablement le club d’une disparition promise. Même si Pierrick Massiot, adjoint aux finances d’Edmond Hervé et administrateur du Stade Rennais jusque-là, est celui qui, en remettant provisoirement les comptes à flot, a empêché qu’il coule définitivement.
Depuis près de 20 ans, François Pinault et son fils François-Henri, qui préside aux destinés du groupe (Artemis, puis Kering), ont pris toutes les grandes décisions stratégiques concernant le club de leur cœur. Les plus décisives, comme les moins inspirées.

L’ère des chèques en blanc…

Présidé depuis Rennes, mais gouverné depuis Paris, le club de la capitale bretonne connaît un premier quinquennat contrasté. Si, sous la présidence du Rennais Pierre Blayau, ex-cadre de Pinault-Printemps-Redoute, et alors PDG de Moulinex, les résultats sportifs s’améliorent très vite sous la houlette de Paul Le Guen, la folie des grandeurs s’empare ensuite des dirigeants en place, sans contrôle.
C’est l’ère des transferts astronomiques (Lucas, Turdo) et des recrutements coups de tête. Hubert Guidal, fidèle lieutenant du père Pinault depuis les premières aventures sur les quais de Saint-Malo, est alors directeur général du club. René Ruello déjà président. La première apparition du tandem Ruello - Gourcuff, en 2002, se solde par un échec sportif. Et c’est François Pinault, lui-même, qui met fin aux fonctions des deux hommes. Ruello restera vice-président pendant un an. Christian Gourcuff, à qui il restait encore quatre ans de contrat, partira avec une grosse indemnité.
Le manque de rigueur à la tête de leur club n’amuse plus la famille Pinault. À cette époque, le compte courant de l’actionnaire dans les comptes du Stade Rennais dépasse allègrement les 100 M€, pour un budget de 40 M€. Ils décident alors de remettre de l’ordre dans la maison. Emmanuel Cueff, déjà administrateur du club et conseiller chez Artemis, est nommé à la présidence. Et, à la demande de François Pinault qui, dit-on, n’ose le faire directement, démet Hubert Guidal de ses fonctions.
Même s’il n’était pas le premier choix (Christophe Chenut avait déjà été pressenti), il s’agit là de la décision la plus inspirée de ces deux décennies. Une des rares décisions stratégiques prises sans l’intervention de réseaux extérieurs. Cueff est issu du groupe, et Pierre Dréossi, recruté par un cabinet de chasseurs de têtes, est débauché à Lille. Il devient le directeur sportif du Stade Rennais, puis le directeur général. Le tandem va progressivement bâtir une organisation de club moderne. Devenu trio, avec Laszlö Böloni aux manettes de l’équipe, il va faire progresser le club sur tous les plans, jusqu’à lui offrir la scène européenne, en 2005. Pinault père et fils font entièrement confiance aux hommes en place.
Même si parfois, après les défaites évidemment, François Pinault, le plus souvent remonté par ses réseaux rennais, décroche son téléphone pour assaisonner les responsables.

« Les forces obscures » du Stade Rennais

En 2006, lorsque Pierre Dréossi cumule les fonctions de directeur général et d’entraîneur, sur une idée de son président, après le départ de Laszlo Bölöni, les choses se compliquent. Emmanuel Cueff supporte de moins en moins les coups de gueule de son actionnaire. Les comptes sont au vert, les résultats sportifs honorables, l’image du club, plutôt flatteuse.
Pourtant, le froid s’installe avec Pinault père, avec qui il a été conjointement inquiété dans l’affaire Executive life. Et en décembre 2006, après une victoire contre Nantes, F.-H. Pinault, qu’on dit gêné, lui passe un coup de fil et met fin à ses fonctions. Fin de la stabilité.
La reprise en main se fait depuis Paris, où est basé le groupe. À sa nomination, qu’il doit à la proximité François Pinault-Jacques Chirac lui aussi, Frédéric de Saint-Sernin, nouveau salarié d’Artemis, se glisse peu ou prou dans les pas de Cueff. Dréossi reste le patron opérationnel.
Mais, quand les premiers nuages sportifs s’accumulent, il se lasse des défaites et des engueulades homériques de son actionnaire. Il demande à passer le manche à un entraîneur à plein-temps. Une décision que son entourage de l’époque trouve précipitée. Son successeur sur le banc de touche lui sera cette fois-ci imposé.
Écoutant ses relais sur place, ceux qu’Antonetti, plus tard, dénommera « les forces obscures », et d’autres « les visiteurs du soir » c’est-à-dire Hubert Guidal, François Pinault impose Guy Lacombe. Le courant ne passe pas entre les deux hommes. Rapidement, le club se scinde en clans. La finale perdue contre Guingamp, en 2009, fait éclater les conflits au grand jour.
Pour choisir le successeur de Lacombe, les Pinault ne reproduisent pas la même erreur. Antonetti est le choix de Pierre Dréossi depuis bien longtemps. Un triumvirat se reconstitue. Mais la défaite a laissé des traces, et le projet de naming Fortuneo a capoté. Les adversaires de l’intérieur, revenus en grâce, trouvent de quoi déstabiliser les trois hommes.

Père et fils Pinault ne se fâcheront jamais

Juin 2010, Frédéric de Saint-Sernin doit laisser sa place et regagner le siège d’Artemis. François Pinault impose un nouvel homme à la tête du club : l’ex-patron de TF1, Patrick Le Lay, breton comme lui. Il restera en poste jusqu’en 2012. Celui qui gagnera en interne le surnom moqueur de « Benny Hill » ne laissera pas une grande trace de son passage. François-Henri Pinault s’en rendra vite compte et demandera à « FSS » de reprendre du collier. Il semble alors prendre les commandes.
Sur le Stade Rennais, pourtant, les proches de la famille Pinault sont unanimes, père et fils ne se fâcheront jamais. Tout juste ont-ils des discussions un peu chaudes et dictées par la passion lorsqu’ils discutent du match. Mais, toutes les décisions stratégiques sont assumées en commun, même si l’inspiration peut venir de l’un ou de l’autre, et, même si elles sont mises en œuvre davantage par l’un que par l’autre.
Leurs réseaux sont différents. Les ex du PSG, la filière TF1 (Tapie, Arsène Wenger, Le Lay), les amitiés chiraquiennes, et le canal historique rennais pour le père. Les copains d’enfance à Rennes (Jacques et Vincent Delanoë), d’HEC (Christophe Chenut), ou autres relations du monde des affaires pour le fils.
Leurs méthodes pour faire passer un message sont aussi différentes. Directes, passionnées, voire brutales quand il s’agit du père. Moins impulsives, plus rationnelles et plus constructives quand il s’agit du fils. Le père est un autodidacte. Le fils est un pur produit de l’excellence éducative française.
Alternativement, lors des dix dernières années, les deux prendront les rênes au gré des événements. Souvent des crises. Lorsqu’il s’agit de « remercier » quelqu’un c’est le plus souvent François-Henri, plus diplomate, qui s’y colle. Avec deux constantes ; d’abord l’intéressé l’apprend souvent par la bande, ou par la presse. Et avec une certitude : « De toute façon, chez Pinault on n’est toujours qu’en CDD. »

René Ruello, un échec

En juin 2013, François Pinault fait, en coulisses, jouer son réseau rennais (Hubert Guidal et Jacques Tiphagne) pour faire venir Philippe Montanier comme entraîneur. Sur ce coup-là, ils le découvriront après, Frédéric de Saint-Sernin et Pierre Dréossi se sont fait court-circuiter. L’avenir du directeur général, il ne le sait pas, est scellé. Quelques semaines plus tard, François Pinault décide de mettre fin aux fonctions de Pierre Dréossi, même si c’est son fils qui est chargé de le lui annoncer. Ce dernier ne mégotera pas sur les indemnités de départ.
C’est encore François Pinault qui décide de limoger Frédéric de Saint-Sernin et, finalement d’imposer le retour de René Ruello à la tête du club en 2014, alors que le fils envisageait plutôt d’y placer Jacques Delanoë.
Le balancier du pouvoir décisionnaire revient vers l’Ille-et-Vilaine. François Pinault passe d’ailleurs de plus en plus de temps dans sa villa dinardaise, et assiste fréquemment aux matchs dans le néo-Roazhon Park. Sans plus guère de satisfaction. Ruello qui voue une grande admiration à « monsieur Pinault », concentre les pouvoirs.
Malgré son échec patent, Philippe Montanier est prolongé, avant d’être limogé. Christian Gourcuff, à l’égard duquel la famille Pinault exerce une certaine défiance, bien dissimulée, revient prendre sa revanche, ou, en tout cas espère prouver cette fois-ci que s’il avait eu plus de temps en 2002…
Trois ans plus tard, la nomination de René Ruello, lourde de conséquences, est un échec évident. Le Stade Rennais est en crise, le club est fragilisé dans ses structures, son image en a pris un sacré coup, et indirectement celle de l’actionnaire unique aussi.
De nouvelles décisions stratégiques pour les années à venir sont en gestation. Et cette fois-ci, que ce soit le père ou le fils qui les endosse, il ne leur faudra pas se tromper.

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René Ruello : « Je me dois de rétablir la vérité  »
03 nov 2017 12:32



Chers supporters ayant pris l’engagement de m’adresser directement à vous
Je me dois de rétablir la vérité suite à l’article paru dans Ouest-France sous la signature de Guyader qui met en cause la gestion du Stade Rennais F.C.

1. Le Stade Rennais F.C. se porte bien. Le CA (hors droit tv) a augmenté de 17% en 3 ans. Le nombre de partenaires est en forte augmentation, un signe fort de validation du projet.
    
   
2. Le nombre de spectateurs est passé de 19 600 à 22 600 de moyenne soit 16 % de hausse. Ce qui fait un taux de remplissage de 77 % soit juste derrière le PSG et l’Olympique Lyonnais pour les stades d’une capacité de plus de 25 000 personnes
    
   
3. Le Club Rouge et Noir compte aujourd’hui plus de 150 clubs de la région partenaires du Stade Rennais F.C. Il n’y en avait aucun il y a 3 ans.
    
   
4. Depuis l’arrivée de Christian Gourcuff, le club a transféré pour 75 millions d’euros et a acheté pour 43 millions d’euros. Retraitée des soldes d’exploitation, c’est une trésorerie nette de 10 millions d’euros dégagée par le club. C’est à dire que, pour la 1ère fois, depuis le rachat du club, l’actionnaire n’a pas eu à « boucher les trous ».
    
   
5. Sur le plan sportif, trois victoires consécutives placent le club en 13e position du classement de L1 (devant Nice et Lille) et nous qualifient pour les 8ème de finale de la Coupe de la Ligue. Une victoire prometteuse à Montpellier qui venait de prendre 1 point contre le Paris SG et l’AS Monaco avant d’aller gagner à St-Etienne. Compte-tenu des blessés, suspendus et décisions arbitrales défavorables, le bilan n’est pas si mal… en attendant mieux. C’est ce que Guyader appelle une crise ! Il aurait été bien inspiré de travailler un peu, de s’informer au minimum et surtout de réfléchir mais réfléchir c’est la fonction essentielle du miroir et Guyader n’est pas un miroir. Au delà du piètre narrateur, Guyader est un inventeur navrant qui se nourrit d’un copinage déçu et jaloux au détriment d’une information vraie. Guyader confond la plume et le rouleau à pâtisserie. En réalité Guyader n’intéresse personne sauf Guyader lui-même. Avant de me donner des leçons de gestion ainsi qu’à « Monsieur PINAULT » (et oui ce n’est ni François, ni Pinault…), je souhaite à Guyader de gérer son livret de caisse d’épargne comme Monsieur PINAULT a géré le sien il y a… 60 ans !!! N’en déplaise à Guyader le Stade Rennais F.C est une entreprise en bonne santé dans tous les secteurs. Mais dans l’immédiat il faut faire quelque chose pour sauver Guyader qui depuis 3 ans se morfondait dans son placard. Guyader souffre d’une autre infirmité : il est né pour le malheur. Alors inventons lui une crise pour calmer ses aigreurs et  pour son bonheur !!!
   

René Ruello

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A nos lecteurs
par Ouest-France  
En réponse au communiqué publié à la Une du site du Stade Rennais ce vendredi 3 novembre 2017 sous le titre : « Je me dois de rétablir la vérité ».
Vendredi 3 novembre, le Président du Stade Rennais FC s’en est pris violemment à un des journalistes de la rédaction, dans un communiqué publié sur le site internet du Club. En cause, un article publié le 31 octobre dans les colonnes de Ouest-France et retraçant les grands épisodes de la vie du Stade Rennais, ces dernières années.Quels que soient les désaccords sur le fond, les attaques personnelles sont inacceptables.
Le Directeur de la publication, la Direction générale et la rédaction en chef d’Ouest-France condamnent fermement ces propos et rappellent que Ouest-France entend assurer sa mission d’information avec conscience et dans l’indépendance, en toutes circonstances.

Ambiance...

Pas fan de Ruello mais, si ses chiffres sont bons, difficile de lui donner tort...Grosse interrogation sur la cohabitation Gourcuff / Letang ...si elle a lieu!

....et merci pour les articles !

Angers devrait rester derrière nous ce soir
PSG en démonstration 0-3 au bout de 30'

Jakez a écrit:

....et merci pour les articles !